Depuis quelque temps, il y a des hésitations dans la connexion des faits entre les personnalités du pouvoir qui, par actes et allusions, semblent s’engager dans un véritable jeu de massacre entre elles, sur fond de tendances à obscurcir le tableau. certains employés du régime. Une situation exacerbée par le silence continu du président Biya, le « Créateur des créatures ». Cela suggère que certains membres de l’establishment seraient à la merci de certains fonctionnaires mieux placés qui luttent pour accroître leur influence sur le système. L’indolence, l’indolence et la peur remplissent la vie quotidienne des ministres. Nous attendons la transformation, la transformation ne vient pas. Ce plagiat de la chanson des Maxtones du Littorol de 1996 pourrait bien cadrer avec la situation que connaît le gouvernement de la république depuis plusieurs mois. En effet, tout au long du sérail on affirme que l’attente d’un remaniement ministériel est le menu de référence de l’heure où convergent tous les indicateurs de la nécessité d’un nouvel appareil. La raison principale de l’importance de la redistribution des cartes, selon certains observateurs, est en grande partie le fait que de nouvelles institutions, plus modernes et plus démocratiques viennent d’être mises en place et qu’il y a donc un besoin. Appuyez sur pour conserver l’équipe de direction. L’objectif est de le laisser aux générations futures, comme le déclarent les premiers camerounais: «Un Cameroun stable, démocratique et prospère». Il n’est donc plus à croire que nous ne renouvellerons pas l’équipe de direction. Du coup, les observateurs du sérail s’accordent sur l’inquiétude qui gagne les proches collaborateurs du chef de l’Etat. Parce que tout le monde pense que personne n’est à l’abri du coup de tête d’un prince pour envoyer qui il veut, où il veut et quand il veut. Chef contre Sultan De sources bien informées, après avoir consulté le Sultanat sur un avis sur l’entrée de certaines personnalités au gouvernement, il a voulu pousser un peu plus loin le bouchon en exigeant que ces personnalités soient nommées à des postes clés et stratégiques à mesure qu’il avance. Intimidation, menaces et même chantage. Le premier ministre lui aurait rappelé cela avec peu de réticence, car comme lui, il est aussi un patron traditionnel. Les deux hommes auraient eu un échange violent qui n’aurait pas été digne de leur rang. Selon le Dr. Joseph Dion Ngute, le roi de Bamoun soutiendrait le trouble mis en scène par son fils dans le football camerounais. Championnat arrêté, non-respect des décisions de la hiérarchie et tout. Coton Sport de Garoua, qui participe à une compétition africaine, n’est pas accompagné de la Fécafoot, qui a disputé le match d’ouverture du championnat que la ligue voulait organiser. Autre chose, le sélectionneur Martin Ntoungou Mpile des A ‘car il a été nommé par le ministre des Sports et de l’Education physique, la Fécafoot ne le reconnaît pas et jure même de le débarquer avant le départ du CHAN, il ne s’est pas privé. non, selon une source anonyme à Tsinga. Les décisions du TAS ont pris contact, le différend constant avec les plus hautes autorités du pays … On se demande si c’est Mbombo Nyoya qui va provoquer ce que les gens de notre pays craignent le plus actuellement
REF: La Revue N°139