La Banque mondiale et le Cameroun s’associent pour annoncer un plan de contingence énergétique de 180 milliards de FCFA.

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La Banque mondiale et le gouvernement camerounais ont dévoilé un plan d’urgence ambitieux pour relancer le secteur de l’énergie au Cameroun. Ce plan vise à porter la capacité de production d’énergie du pays à 5 000 mégawatts d’ici 2030. Pour y parvenir, le plan s’articule autour de sept axes principaux, dont la recherche de l’équilibre financier du secteur et l’amélioration du mix énergétique. La Banque mondiale a promis un soutien financier substantiel de 180 milliards de FCFA pour lancer ce plan d’urgence.

Le cœur de ce plan est la recherche de l’équilibre financier du secteur. Les actions prioritaires comprennent l’amélioration de la capacité de transport en commun, la construction de nouvelles sous-stations et de nouvelles lignes pour approvisionner les industries, l’amélioration de la collecte et l’installation de compteurs dans tous les bâtiments gouvernementaux. Cela représente un véritable défi, mais le gouvernement camerounais et la Banque mondiale restent confiants dans le succès de cette entreprise.

Un manque à gagner de 240 milliards de FCFA subsiste pour atteindre les objectifs du plan de contingence. Cependant, d’autres partenaires financiers, comme la Banque africaine de développement, ont exprimé leur volonté de soutenir ces actions prioritaires, démontrant l’intérêt et la confiance dans le plan de relance énergétique du Cameroun. Ce plan est un moment historique pour le Cameroun et un signe prometteur de ce qui peut être réalisé lorsque des partenaires internationaux et locaux se réunissent pour parvenir à une vision commune.

En somme, le plan d’urgence pour relancer le secteur de l’énergie au Cameroun est ambitieux et vise à porter la capacité de production d’énergie du pays à 5 000 mégawatts d’ici 2030. La Banque mondiale a promis un soutien financier substantiel de 180 milliards de FCFA pour lancer ce plan d’urgence. Les actions prioritaires comprennent l’amélioration de la capacité de transport en commun, la construction de nouvelles sous-stations et de nouvelles lignes pour approvisionner les industries, l’amélioration de la collecte et l’installation de compteurs dans tous les bâtiments gouvernementaux. D’autres partenaires financiers, comme la Banque africaine de développement, ont exprimé leur volonté de soutenir ces actions prioritaires.

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