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World news – Les députés ont examiné le projet de loi sur la maltraitance des animaux

Le projet de loi contre la maltraitance des animaux est présenté par le député Loïc Dombreval (LREM).

Science et avenir

Animaux

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Sciences et Avenir avec l’AFP

le 21 janvier 2021 à 12h13

La commission économique de l’Assemblée nationale a examiné une loi contre la maltraitance des animaux le 20 janvier 2021. Il sera déposé en séance publique les 26, 27 et 29 janvier.

Le 20 janvier 2021, la commission économique de l’Assemblée nationale a examiné une loi contre la maltraitance des animaux communément qualifiée de progrès, même si les députés sur Des carences sont signalées et les chiens ou élevages industriels regrettés de cette chasse ne sont pas concernés.

Ce projet de loi est soutenu par le député Loïc Dombreval (LREM) avec deux autres députés de la majorité, Dimitri Houbron et Laëtitia Romeiro Dias. Ce sont principalement des chiens, des chats, des chevaux (chevaux, ânes …). Elle prend également des obligations étatiques (interdiction de garder certains animaux sauvages dans les cirques ambulants, baleines dans les delphinariums, fermeture des élevages de visons, etc.). Alors que les lois protègent déjà les animaux, « nombreux sont nos voisins européens
est allé beaucoup plus loin », a fait valoir Loïc Dombreval, rappelant que la France est le champion européen des retraits. Pour contrer cette situation, le député européen a déposé un amendement qui a été adopté pour un« certificat de connaissance des besoins spécifiques de «l’espèce» pour futurs acheteurs de chats, chiens et chevaux. Le projet de loi « renforce les sanctions dans la lutte contre la maltraitance des animaux de compagnie », a déclaré Dimitri Houbron. Concernant les animaux sauvages, « ces animaux se trouvent dans un milieu de vie inadapté dans une situation de besoin et de souffrance », a fait valoir Laëtitia Romeiro. . « Ce calcul va dans le bon sens », a déclaré Julien Dive (LR), tout en notant des « lacunes » et en s’interrogeant sur les « ressources » pour la transition des cirques ambulants vers les élevages de visons. Le groupe socialiste « apportera son soutien », a déclaré Philippe Naillet (PS). Après avoir examiné les 183 amendements adoptés, le projet de loi a été adopté et sera examiné en demi-cercle à partir du 26 janvier.

« Le problème avec ce texte est que les animaux sont traités différemment selon qu’ils sont considérés comme des compagnons ou des éleveurs »a déclaré Bastien Lachaud (LFI). « LREM rejette le débat sur deux points prioritaires sur le bien-être animal, la fin progressive de l’élevage en cage et la fin de la chasse avec des chiens », a regretté Matthieu Orphelin. L’ancien groupe d’écologie
La Solidarité de la Démocratie a présenté une loi contre la maltraitance des animaux en octobre qui n’a pas pu être discutée dans son intégralité. Eric Pauget, adjoint du 7e arrondissement des Alpes-Maritimes (LR), a regretté le manque de discussion sur la tauromachie. «Chaque année, plus de 250 000 taureaux sont publiquement tués dans le monde, dont 1 000 en France, souvent après avoir subi plus de deux heures de mutilations et de souffrances devenues intolérables au nom de la culture ou de l’histoire», indique un communiqué du député. Et d’ajouter: « En 2021, la torture et le témoignage d’un animal pour le seul plaisir de la foule devraient cesser d’exister ». M. Pauget appelle à une interdiction définitive de cette pratique dans un projet de loi.

« Les arguments avancés par les associations et repris par les députés (…) ne reposent pas sur un rapport vétérinaire ou une recherche scientifique », a critiqué l’industrie de la fourrure dans un communiqué. et réfute les arguments des associations pour lesquelles « le vison est un animal sauvage et aquatique » et les accuse de « inventer une histoire sur la souffrance animale ».

« Nous n’avons pas été consultés du tout », a regretté Martin Boye , directeur scientifique du parc zoologique Planet Wild avec neuf grands dauphins. Deux autres structures abritent des baleines en France, le Marineland à Antibes et le parc Astérix. «Notre préoccupation est le bien-être des animaux», assure Boye, soulignant la contribution des zoos à la recherche et aux connaissances sur les animaux et les inquiétudes quant à l’avenir des baleines lorsqu’elles ne peuvent plus être gardées. dans ces structures: « Quel sera leur sort? » Pour lui, un décret sur le travail des zoos serait plus utile qu’un tel projet de loi.

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