Une nouvelle étude estime que le présumé président élu Joseph R. Biden a bénéficié de milliers de votes illégaux de non-citoyens, offrant aux partisans du président Trump un autre argument potentiel pour une élection frauduleuse, a révélé lundi le Washington Times.
L’étude provient de l’institut de recherche à but non lucratif Just Facts et de son président James D. Agresti, qui ont examiné les résultats des élections de sept États du champ de bataille: Arizona, Géorgie, Michigan, Nevada, Caroline du Nord, Pennsylvanie et Wisconsin.
Il a comparé les chiffres du recensement américain sur les non-citoyens (un total de 21,7 millions) avec la démographie et les résultats des élections de chaque État du champ de bataille. Il a ensuite appliqué les sondages électoraux antérieurs des non-citoyens.
Les sondages de 2008-13 montrent qu’un nombre important de non-citoyens s’inscrivent pour voter et votent, malgré une loi fédérale contre, et votent massivement pour les démocrates.
Basé dans le New Jersey, Just Facts a conclu que des milliers de votes non-citoyens «supplémentaires» allaient à M. Biden, assez pour renverser l’Arizona (plus 51 081) et la Géorgie (plus 54 950), mais pas assez pour renverser l’élection.
« Ce n’est qu’un type de fraude », a déclaré M. Agresti au Washington Times. «C’est un nombre considérable, ce qui est le point. Cela décime également le discours prédominant selon lequel il n’y a aucune preuve de fraude à grande échelle aux élections américaines.
REF:AfricaPost
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