‘Elizabeth Holmes, laissée à ses propres dispositifs’

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Le New York Times a publié un profil de 5 500 mots sur la fondatrice de Theranos, Elizabeth Holmes, qui a suscité des critiques pour son empathie excessive envers la fraudeuse. Cependant, l’auteure Amy Chozick a écrit un article qui offre une compréhension claire de la façon dont Holmes a réussi à captiver les investisseurs, les partenaires commerciaux et les médias américains avant que le Wall Street Journal ne révèle la vérité sur sa société en 2015. Chozick a passé du temps avec Holmes, son partenaire romantique, Billy Evans, et leurs deux enfants, ainsi qu’avec les parents de Holmes et d’autres personnes de son entourage. Elle a laissé Holmes faire sa magie tout en offrant un aperçu de ce qui se passait en coulisses.

Holmes est une personne très persuasive qui a réussi à faire plier de nombreuses personnes puissantes à sa volonté. Elle a réussi à charmer Chozick et à la faire croire qu’elle était une personne authentique et sympathique. Cependant, Chozick a finalement compris que Holmes était une fraudeuse qui avait menti et trompé les gens. Elle a réalisé que Holmes avait réussi à créer une réalité alternative autour d’elle-même, dans laquelle elle était une rock-star de l’invention dont la brillance avait ébloui de riches hommes illustres.

Le profil de Chozick offre un aperçu fascinant de la personnalité complexe d’Elizabeth Holmes. Elle a réussi à captiver les gens avec son charme subtil et sa capacité à créer une réalité alternative autour d’elle-même. Cependant, elle a finalement été démasquée et condamnée pour ses crimes. Le profil de Chozick est un exemple de journalisme de qualité qui offre une compréhension claire de la façon dont les fraudeurs peuvent tromper les gens et les médias.

Mots clés: Elizabeth Holmes, Theranos, fraude, journalisme, New York Times, Wall Street Journal, charme, réalité alternative, condamnation.

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